samedi 25 décembre 2010

La discrimination 'positive' semble saugrenue mais l'idée de base n'est pas mauvaise!

Bien sûr elle doit faire sens et n'est pas une panacée. Elle est difficile à appliquer avec bon sens; elle ne doit pas amener de stigmatisations.



Cependant, stigmatiser cette 'action positive' c'est ignorer que ce n'est pas une démarche contraignante en France...



Voilà une article 'wikipedia' qui fait avancer les choses. Un grand bravo à ses auteurs!

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La discrimination positive correspond à l’ensemble des mesures destinées à permettre le rattrapage de certaines inégalités en favorisant un groupe par rapport aux autres, quitte à transgresser de façon temporaire le principe de l’égalité des hommes en droit.

Née aux Etats-Unis dans les années 60 et 70 pour favoriser l’intégration des minorités noires et hispaniques, elle donne la priorité à certains groupes grâce à un système de quotas ou de places réservées.

En France, il existe des mesures de discrimination positive mais les critères ne sont jamais l’appartenance religieuse ou ethnique ; ce sont uniquement des critères territoriaux ou socio-économiques.

Pour certains, une politique de discrimination positive est justifiée car l’égalité des droits reste très théorique et ne correspond pas à la réalité. D’autres contestent ces mesures, qu’ils jugent inefficaces et stigmatisantes.

Si certains y voient un exemple du politiquement correct, le mot « discrimination » conserve cependant une connotation extrêmement négative. On trouve souvent l'expression « égalité des chances » pour désigner cette politique. D'autres personnes estiment que l'on devrait plutôt employer l'expression « action positive », traduction littérale de l'expression américaine « affirmative action».

  • C'est une inégalité formelle destinée à corriger une inégalité de fait.

Une discrimination positive, impliquant des quotas, existe en France depuis plusieurs années. Elle s'applique dans le domaine de l'emploi, par exemple à travers le dispositif mis en place par la loi du 10 juillet 1987, qui impose à l’ensemble des employeurs privés, et depuis 2005 aux administrations de l’État et aux établissements publics à caractère scientifique, technologique ou culturel, une obligation d’emploi égale à 6% de l’effectif salarié au bénéfice des travailleurs handicapés.

la démarche française est beaucoup moins contraignante que la démarche américaine puisqu’elle ne fait l’objet que d’une obligation de moyen et non d’une obligation de résultat juridiquement sanctionnée.
le respect véritable du principe d'égalité permettrait de corriger les problèmes tout en évitant la stigmatisation des personnes concernées et les doutes sur leurs compétences qui seraient entraînés par un accès différencié aux diplômes et aux emplois
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vendredi 1 octobre 2010

Ego, thoughts vs Happiness

It all sound so simple and true. So, let's try and stop 'holding' to things, giving them power. Let's try dramatising life; this is making it dramatic and is making us unhappy, stressed out and tense physically.

If you just are, you are happy! Amen!



Sounds a bit like Erich Fried's poem, which you can find here:

http://my.opera.com/bertrain/blog/2008/01/19/was-es-ist-what-it-is

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hen the sage thinks of something, it is like a fan which has been unplugged. It's still turning, but there's no power. The power is dead. The power has been cut off. In other words, the source of a sage is dead. The source of the sage has no power, no power whatsoever. This is why it is said, a sage does not think, a sage has no thoughts.
What it really means is that the sage's thoughts are dead. When the thoughts are dead, you live in absolute reality. You live in pure awareness. When the thoughts are dead you live in Satchitananda, in Nirvana.
by not reacting to the thoughts, by not responding to the thoughts, they lose their power and begin to fade away. You do not give them any energy. Do not give them any power. Do not say to yourself, I have to stop my thoughts. Do nothing like this. Just slow down, slow down. Let the thoughts do what they may. Allow the thoughts to go their own way. Do nothing with your thoughts. Do not think about them. Do not fight them. And above all, do not try to stop them.
Whatever you've been doing, you're using your mind to do it. And your mind will always fool you. It will make you believe you're getting somewhere. You're becoming something great. But it's really the ego.
Do nothing, because you are nothing. Nothing plus nothing makes nothing. Can you see why I tell you to do nothing now? Because you're using your real nature when you do nothing.
y slowing yourself down, saying nothing, hearing nothing, doing nothing, being nothing, your thoughts will stop completely, totally absolutely. And as I mentioned before, you will feel beautiful happiness, peace of mind, bliss, you'll be free.
Know who you are once and for all. You are that which was never born, which will not prevail, and can never die. You are that which is beyond all concepts, all reasoning, all thoughts. You are that which has always existed as pure awareness. You are that which is not female or male, which is neither good nor bad, which is neither right or wrong, which just is beauty, joy, love, harmony, peace, bliss.

This is your true nature. This is who you are.


 


Why not accept this and become free right now?

You are the source of all creation.
In this gap that I give you between sentences, at that time you are in Samadhi. Every time I stop talking, you are in Samadhi. Feel your divinity. Feel your bliss. Feel your love. Feel the truth, in reality.
You are absolutely free right now. Absolutely free! Absolutely free!Read more at itisnotreal.com
 

samedi 21 août 2010

'Langage': un outil? vs L'homme est-il lui-même 'Langage'

Le langage préexiste-t-il à ce que nous percevons, certes, mais pas plus que toute notre autre expérience subconsciente et consciente d' Homme. Certains me semblent aduler le langage. J'ai souvent eu l'impression que la compréhension des choses se fait chez moi de manière directe, intuitive, indépendante du langage. Le langage n'étant que la possibilité de communiquer ce que j'ai compris, perçu, induit.



A part cela, toute insistance sur la supériorité et la différence 'immense' entre l'homme et l'animal m'est suspecte. L'homme a-t-il historiquement démontré sa sagesse 'humaine' ou tout autant sa 'bestialité', bestialité qu'on reconnaît chaque fois qu'on dit que c'est 'humain' !...

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discuter l’idée bizarre (et fausse) selon laquelle le langage n’est qu’un « outil » (même si je suppose que ce n’était pas forcément à prendre au premier degré).

La formulation en dit beaucoup car elle suppose une espèce d’arrière plan « vierge » de cet « outil » (puisqu’un outil on peut le convoquer et le révoquer à sa guise), l’arrière plan étant « ce »(?) qui ferait usage de l’outil.

Mais il n’existe pas d’homme sans langage (même « privé ») et un tel arrière plan n’existe pas. Quoique nous fassions, nous parlons et nous parlons sans cesse. Le langage nous définit. Ce n’est pas quelque chose « en plus » c’est là l’essence même de ce que nous sommes. En même temps que le « langage » sont donnés ipso facto le « monde » et le « sens » (c’est à dire nommer les choses). Si le langage (la capacité à nommer) est bien la condition de possibilité d’un accès au monde en tant que monde, alors l’animal est très proche de la plante ou de la pierre qui sont « sans monde ».

( cette « ouverture au monde » qu’abrite le langage renvoie à un tout autre niveau que celui dont parle le psychanalyste quand il parle de conscient ou d’inconscient, puisqu’il s’agit de la condition de possibilité ontologique de toute toute constitution d’une subjectivité).

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Quel origine au 'Sens de la Justice' ?...

Qu'en pensez-vous? En Suisse, nous avons l'habitude de croire en le fonctionnement des institutions, mais comment serait notre sens de la justice si les institutions étaient corrompues comme au Brésil, par exemple? Avez-vous de l'expérience de cela? Des idées à ce sujet?

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On peut par exemple se poser la question de savoir si le « sens de la justice » s’acquiert au sein de la famille ou par le fait de grandir dans un environnement institutionnel (politique) qui encourage et qui témoigne de l’exercice de ce dernier (par exemple une large classe de fonctionnaires non corrompus, traitant les citoyens sur une base égalitaire). Cette question devient fondamentale, dès lors qu’on s’intéresse à la stabilité et à la pérennité de ce par quoi on veut remplacer ce qui ne fonctionne pas aujouRead more at www.pauljorion.com